Ghislaine du Maurier :
Je tenais juste à rappeler deux ou trois petites choses à Maître Houledec.
D'une part, Maître, oui j'ai dit et je le répète : le juge Slingon n'avait pas l'impartialité que requiert cette affaire. Vous pensez que cet argument n'a pas sa place dans un tribunal ? La Cour Suprême m'a pourtant suivie dans cette analyse.
Ensuite, à aucun moment je n'ai dit que Monsieur Picaban manquait d'impartialité, c'est une erreur de penser cela ! J'ai dit que Monsieur Picaban n'avait pas demandé de contrôle fiscal quand des Picabans ont oublié de payer des impôts. Et pour moi, cela démontre un manque d'équité ! J'aurais dit la même chose si les personnes qui n'avaient pas payé leurs impôts avaient été de Rémipolis ou d'Évrain ! Reprenez mes déclarations, Maître Houledec, vous verrez que je dis vrai !
Pour terminer, je n'ai pas non plus supposé que Monsieur Picaban n'était pas compétent. L'accusation, Maître Houledec, porte sur le fait que ce contrôle était abusif et injustifié, ce sont les termes que j'ai employés ! Et c'est uniquement là-dessus que porte le procès d'aujourd'hui !
Abusif parce qu'il porte sur le Clan, les citoyens, les entreprises, absolument tout ce qui est sur le territoire de Mézénas mais en plus injustifié parce qu'il vient après un oubli dans le remboursement d'un prêt ! Et seul le Chef de Clan a le droit d'emprunter, d'après la loi de notre pays ! Donc, au pire, le contrôle fiscal aurait dû porter uniquement sur le Chef du Clan, et sur aucune autre personne.
Et j'en ai terminé, Monsieur le Juge, je n'ai plus de questions.
Vous avez entendu, Monsieur Picaban ? Plus de questions !! L'interrogatoire est terminé, vous n'avez plus la parole !!
Rires des nombreux mézéniens présents dans la salle.
Je tenais juste à rappeler deux ou trois petites choses à Maître Houledec.
D'une part, Maître, oui j'ai dit et je le répète : le juge Slingon n'avait pas l'impartialité que requiert cette affaire. Vous pensez que cet argument n'a pas sa place dans un tribunal ? La Cour Suprême m'a pourtant suivie dans cette analyse.
Ensuite, à aucun moment je n'ai dit que Monsieur Picaban manquait d'impartialité, c'est une erreur de penser cela ! J'ai dit que Monsieur Picaban n'avait pas demandé de contrôle fiscal quand des Picabans ont oublié de payer des impôts. Et pour moi, cela démontre un manque d'équité ! J'aurais dit la même chose si les personnes qui n'avaient pas payé leurs impôts avaient été de Rémipolis ou d'Évrain ! Reprenez mes déclarations, Maître Houledec, vous verrez que je dis vrai !
Pour terminer, je n'ai pas non plus supposé que Monsieur Picaban n'était pas compétent. L'accusation, Maître Houledec, porte sur le fait que ce contrôle était abusif et injustifié, ce sont les termes que j'ai employés ! Et c'est uniquement là-dessus que porte le procès d'aujourd'hui !
Abusif parce qu'il porte sur le Clan, les citoyens, les entreprises, absolument tout ce qui est sur le territoire de Mézénas mais en plus injustifié parce qu'il vient après un oubli dans le remboursement d'un prêt ! Et seul le Chef de Clan a le droit d'emprunter, d'après la loi de notre pays ! Donc, au pire, le contrôle fiscal aurait dû porter uniquement sur le Chef du Clan, et sur aucune autre personne.
Et j'en ai terminé, Monsieur le Juge, je n'ai plus de questions.
Vous avez entendu, Monsieur Picaban ? Plus de questions !! L'interrogatoire est terminé, vous n'avez plus la parole !!
Rires des nombreux mézéniens présents dans la salle.