Les garden-parties du Clan de Mézénas

Natacha se détacha (jeu de consonnance stupide) de Destier et prit le téléphone

Allô?

Maurice Portalys salua egalement Roger de la Pléssaillère :

Bonjour sir ,

Je voulais vous demander.
Nous avons une collaboration avec Antipolis mais quand est-ce que l'université sera construite ? L'Ordre n'aurait t-il pas besoin de locaux ?

Émile Bogendorfer : Qui était-ce au téléphone, Hubert ?

Hubert : Une dame du gouvernement, je n'ai pas tellement compris, elle parlait assez vite et semblait toute excitée.

Émile Bogendorfer : Ah, fort bien. Oui, Maurice, tu disais ? Des locaux ? Attends, d'une part cette collaboration entre Comtat, l'Ordre et Mézénas vient tout juste de débuter. Et l'Université, faudra surement attendre la fin de l'année. Tu sais bien qu'à Mézénas on aime prendre son temps.

Maurice Portalys :

J'ai tout mon temps , je ne suis pas préssé , je demandais justement si l'ordre avait besoin de Locaux ou si cela n'était pas urgent. Je me renseigne juste en l'occurence.

Émile Bogendorfer : L'Ordre aura besoin de locaux et l'emplacement a déjà été trouvé. Tu crois que je te vois pas venir, Maurice ? Bon, et à part ça, que deviens-tu ? On t'a pas beaucoup vu ces derniers temps.

(En fait je me renseigne en RP si je dois ouvrir une rubrique du Forum dans Mezenas ou pas)

Maurice Portalys :

Eh bien je reste dans le Clan pour m'occuper des finances en interne.
Je regarde et participe au premier mois de notre nouveau système économique. J'espere que se sera une réussite.
Et il est possible que je me déplace en Armara prochainement. On m'a dit que tu connaissais bien l'ambassadeur actuel ?

Émile Bogendorfer : Vernouille, cette sale fripouille ? Le connaitre, c'est vite dit. C'est pas le genre de bonhomme que je fréquente. Et tu vas faire quoi en Armara, si je peux te demander ?

Antoine Magellan a écrit:Maurice Portalys salua egalement Roger de la Pléssaillère :

Bonjour sir ,

Je voulais vous demander.
Nous avons une collaboration avec Antipolis mais quand est-ce que l'université sera construite ? L'Ordre n'aurait t-il pas besoin de locaux ?

Roger de la Pléssaillère

Lord... Lord de la Pléssaillère, Grand Maître. Vous aussi vous avez le titre de Lord, Sir est réservé aux simples chevaliers. Vous savez, ceux qui se détachent un peu de la moyenne d'inculture générale... Les moins crétins en fait.

Pour les locaux, j'en suis encore à bosser avec les architectes pour notre bibliothèque.

Maurice Portalys :

Oui pardon en effet Lord.
J'ai encore du mal , il faut me laisser un peu de temps. Meme dans ma jeunesse on me refusait dans les clubs.

Mais le siège sera à Comtat ou à Mezenas ?

Vernouille, cette sale fripouille ? Le connaitre, c'est vite dit. C'est pas le genre de bonhomme que je fréquente. Et tu vas faire quoi en Armara, si je peux te demander ?

Il y a plusieurs semaines on m'avait invité pour que je présente le Portalysme.
Ils étaient interessés.
Je n'étais pas aller tout de suite car je n'avais pas pour but de l'exporter et puis la crise de flemingite m'a aussi retardé.

Il y a de grande chance donc que durant le mois je me déplace là bas et puis j'ai envit de changer d'air un peu. Mais avant je veux etre là pour l'application du système en Francovie.

Émile Bogendorfer : Ah, très bien, très bien, je comprends mieux.


Il observait Natacha, toujours au téléphone. Apparemment, le coup de fil avait l'air de l'enchanter !

Roger

Mézénas, à Antipolis.

Natacha de Saint-Auteuil

Allôoooo?

Antoine Magellan :

On s'embete un peu là non ?

- Vous voulez y aller monsieur ?

Oui aller on s'en va.

Il se dirigea vers Emile Bogendorfer.

Encore bon anniversaire. Nous nous félicitons de cette invitation. Le Clan de Picabanie et le Clan de Mezenas sont très proches à présent. Je vous souhaite de vivre encore beaucoup d'autres anniversaires.

Il se dirigea vers sa voiture tout en saluant son vice-Patriarche à l'Economie. Il y avait une fiante d'oiseau sur le toit.
Après quelques jurons du chauffeurs , la voiture démarra en direction du Nord.

Émile Bogendorfer : Je te remercie, Maurice. Bon retour en Picabie ! Bon, alors ce coup de fil, Natacha ? C'était qui ?

Maurice Portalys :

Ce n'était pas moi , moi je suis encore là.

Il murmura :

Je suis toujours invisible ... comme dans les clubs de ma jeunesse  

Roger de la Pléssaillère

T'en fait pas, Maurice. Quand tu sera Lord Chancelier, tu sera invité dans toutes nos universités. Au fait, tu fait quel tour de ventre? C'est pour les tenues de l'Ordre.

Natacha

C'était la Ministre de la Culture, elle veux faire une exposition sur les oeuvres de la mère Coty.

Émile Bogendorfer : Ah oui, je me souviens maintenant ! Elle m'en avait parlé alors que nous discutions arts et culture dans un diner en ville, il y a peu de temps. Maurice, les oeuvres de Jeannette Coty sont fabuleuses !

Maurice Portalys :

Pour la taille on va dire XxL.
Ah je serais interessé par ses oeuvres en effet. De quoi s'agit t-il ?
Je me rappel avoir vu dans un livre une superbe peinture à Nadur que je voulais acheter , d'ailleurs Maurier l'a voulait aussi je crois mais maintenant elle a du tomber dans les oubliettes.

Natacha

Oui, les oeuvres de Cordélia Leileina, la défunte fille d'Irina, sont superbe mais sont toutes perdues à Nadür. Elles ont été volée et son sur le marché noir nadéèn.

Mais Jeannette Coty fait dans le même style.

Maurice Portalys :

Il est vrai que pour l'instant la culture francovare se résume à des Médias et un Livre.
L'arrivée de nouvelle oeuvres ne pourra etre que productive pour les autres artistes de notre pays.

Natacha

En tout cas, j'espère qu'elle vous plairons et que vous sortirez le chéquier.

Rire. Brigitte revient vers eux.

Brigitte

Rhooo! Vous parlez chéquier à un anniversaire!

Éva Minnaud : Bon, messieurs-dames, il n'est pas de bonne compagnie qui ne se quitte. Je vais rentrer.

Clovis Bogendorfer : Je vous raccompagne, Éva ? Suzanne m'a demandé de la ramener chez elle, également.

Éva Minnaud : Excellente idée. Bonne fin de soirée tout le monde. Et encore un bon anniversaire, trésor.

Clovis Bogendorfer : Bonne soirée à tous !

Suzanne Destier : Bonsoir. Brrr, il fait pas chaud.

Brigitte se penchat vers Natacha

Brigitte Bregen

Bon, chérie, on va y aller, la route est longue.

Natacha acquiescat. Roger fulmina de loin

Roger de la Pléssaillère

Hé! il n'est que 22h!

Brigitte

Oui Roger et on voit que tu n'est pas géographe! Faut juste que l'on traverse tout le pays pour rentrer au Comtat!

Elle alla avec Natacha saluer Emile une dernière fois

Brigitte

Bon Emile, encore bon anniversaire et on se revoit à celui de Kikojiro. On va bien se marrer là! On va encore finir aux guignols!

Émile Bogendorfer : Oui, ça c'est sûr ! On risque en effet de bien s'amuser ! Encore merci d'être venues, mesdames. Une bonne soirée.

Maurice Portalys :

Eh bien je vous quitte aussi dans ce cas.
Ravit d'avoir pu revoir des tetes oubliées.

Encore bon anniversaire Emile.

Le valet de Bogendorfer lui adressa sa veste et son chapeau et il parta à pied. Il allait certainement dormir à Mezenas.

Émile Bogendorfer : Je te remercie, Maurice. Tu veux dormir à la maison ?