Bureau du Premier Ministre

Anne-May Chartrin : Les 20 députés Francovie Unie votent pour cette réunion.

Franck Vernouille : Il ne s'agit pas d'une loi, Anne-May.

Anne-May Chartrin : Ah pardon !

Suzanne Destier : Quelle petite idiote !

Ou sont Conta, Sarkozio, Delembre et l'UCF???

Fiona Lee:

Aucune idée....

Les 23 Députés RDR sont ici Monsieur!

Mathieu Conta arrivait accompagné de Sarkozio et Delembre. Le N°3 du Gouvernement se disait ce qu'il voulait encore. Il commence à me gonfler de convoquer tout le monde pensa t-il. Vivement que je prenne sa place...

Nous sommes là Monsieur le Premier Ministre.

Rémi DE KAULLE :

Nous sommes tous présents M.le Premier Ministre, de quoi s'agit-il ?

J'ai entendu vos pensées Conta!

Bon je vous ai tous convoqué ici parce que j'ai constaté que nous avançons très très lentement dans la mise en oeuvre du programme que le Président de la République nous a tous chargé de mettre en place pour Réformer la Francovie.

Je vous rassure, vous n'êtes pas en cause, chacun ici fait un très bon travail mais votre seul problème est qu'a l'Assemblée Nationale dès que la Gauche ou le PNIP vous provoque vous leur répliquez et cela fait terriblement ralentir les séances de débats! Je pense que c'est ce qu'ils cherchent. Ils veulent ralentir le calendrier et a la fin on aura pas fait la moitié du travail et ils pourront dire "regardez la Droite, ils ont tout promis, ils n'ont rien fait!" Je les connais, ils se priverons pas!

Alors si Monsieur Lepalion, Monsieur Hauteier et les trois guignols du PNIP ou du NPMLF vous provoque, de Dieu, ignorez-les!!! Qu'on ne perde plus de temps, qu'on ne passe plus 15 jours a voter une Loi! OK?

Je vous le dit a vous, c'est vous que je dirige, pas Vernouille!

Rémi DE KAULLE :

Oui M.le Premier Ministre, à vos ordres M.le Premier Ministre, toujours à votre service M.le Premier Ministre. C'était tout ?

Mathieu Conta :

Très bien, c'est tout ?

C'est tous oui.

Simple avertissement, le premier qui sort hors des clous je le fout dehors ok?

Assez de faire mumuse, au travail que diable! Et que ça aille un peu plus vite!

Edouard Chartrin (interrompant sa sieste) : Hein... Quoi ? 10 points pour Mézénas !! Euh... oui, Monsieur le Premier Ministre...

Suzanne Destier : Pour le Premier Ministre, andouille !

Bien dit Madame Destier!

J'suis pas encore sourd Monsieur le Député!

Suzanne Destier: Bon, si on en a finit, moi je voudrais bien y aller. Le Concours commence dans pas longtemps et avec Denis... avec Monsieur Olivès, je veux dire, nous voulons avoir des bonnes places.

J'en ai terminé oui. Vous pouvez disposer.

Heureusement que les volets sont fermés et que les femmes de ménage sont en congés M.le Premier Ministre ! Sinon on aurait tout de suite eu les journaleux sur le coup...
On se fait une partie ?

Et c'est ainsi que Rémi DE KAULLE put se détendre devant un bon jeu entre un tour au Parlement et un autre au sommet.

On s'en fout des femmes de ménages!

Y se passe rien en ce moment on peut bien se détendre un peu!

Hein quoi ?

Ah désolé, j'écoutais une bonne musique tirée de ce jeu !


Bon à part ça, vous êtes sûr qu'on a rien à faire là ? Je sais pas moi, un dossier en cours... Enfin je veux à part les 36 000 dossiers en attente sur le bureau de Chartrin !

Rires

Chartin? Qui c'est ça?

AAAAAAAAAAh le Ministre de l'Education! Il dois faire sa sieste, on l'a laissé dans la salle du Conseil des Ministres. 

Heu...J'ai demandé a Conta de refaire la Loi sur l'Inéligibilité. Et faut que je parle de la Loi électorale au Président de la République quand je le verrais, on s'est plus parlé depuis des jours! 

Sinon...ben j'aimerais bien qu'on aille plus vite mais les débats a l’assemblée sont longs!

Monsieur Kold entra dans le bureau du Premier Ministre, ce dernier sorti une médaille d'une boite.


_Monsieur Kold, j'ai le plaisir de vous remettre, au nom de notre République, la Médaille de l'Ordre de la Libération, au rang de grand maître que vous obtenez de droit en tant que chef de clan d'Almara!


_Je Vous remercie...Monsieur le Premier Ministre.

Monsieur le Premier Ministre, je suis enchanté que vous ayez accepté de me rencontrer