L'avion présidentiel armaréen, plus connu dans le pays comme l'Eagle Force One, se posa sur la piste de l'aéroport. A son bord, le Président armaréen, Dean Kyle Horton avait expressément accepté de venir en Francovie rencontrer le Ministre des Affaires Etrangères pour signer un traité de reconnaissance mutuelle. Il était accompagné par le diplomate Seguela. Leur voyage s'était bien passé, les deux hommes avaient pu discuter et lier un peu plus connaissance. Ils descendirent de l'avion par la passerelle. Horton ne pouvait masquer sa démarche militaire et son côté autoritaire. Il ne souriait pas, comme à son habitude. Alors qu'ils se trouvaient sur le tarmac, le Président ajusta sa cravate, attendant qu'on lui fasse les présentations.
3 participants
Arrivée de Dean K. Horton
Délégation armaréenne- Messages : 21
Date d'inscription : 22/05/2013
Antoine Magellan- Messages : 5909
Date d'inscription : 02/12/2012
Age : 29
Localisation : Picabie
Antoine Magellan , le ministre des affaires etrangères avait bien préparé la venue du Président armaréen.
Son diplomate Jacques Seguela avait été envoyé pour inviter le Président Horton et préparer le terrain.
Heureux d'accueillir le premier chef d'Etat etranger sur le sol francovar depuis des dizaines d'années , il se dirigea vers l'ancien militaire qui venait de descendre de la passerelle.
Ignorant son diplomate , il se précipita vers le Président pour lui serrer la main.
Bienvenue en Francovie Monsieur le Président.
Je vous invite à entrer dans les batiments de l'aéroport afin de nous proteger de la pluie.
Nous allons aller au palais présidentiel où vous serez accueillit par le Président Vinago.
Avez vous fait bon voyage ?
Son diplomate Jacques Seguela avait été envoyé pour inviter le Président Horton et préparer le terrain.
Heureux d'accueillir le premier chef d'Etat etranger sur le sol francovar depuis des dizaines d'années , il se dirigea vers l'ancien militaire qui venait de descendre de la passerelle.
Ignorant son diplomate , il se précipita vers le Président pour lui serrer la main.
Bienvenue en Francovie Monsieur le Président.
Je vous invite à entrer dans les batiments de l'aéroport afin de nous proteger de la pluie.
Nous allons aller au palais présidentiel où vous serez accueillit par le Président Vinago.
Avez vous fait bon voyage ?
Délégation armaréenne- Messages : 21
Date d'inscription : 22/05/2013
Anton Dresdner, était aussi présent, le fait que le ministre ignore son diplomate risquait fort de déplaire au président Horton. Aille la gaffe ! Pensa-t-il. Mais il resta légèrement en retrait pour ne pas déranger le protocole.
Antoine Magellan- Messages : 5909
Date d'inscription : 02/12/2012
Age : 29
Localisation : Picabie
Pendant que Antoine Magellan attendit la réponse du Président Horton , il remarqua que le diplomate armaréen Anton Dresdner était un peu enervé. Estimant qu'il pouvait y avoir quiproquo , il lui serra la main tout en ignorant le diplomate francovar Jacques Seguela , son diplomate et non le proche du Président armaréen.
Edouard Maréchal- Messages : 4150
Date d'inscription : 30/01/2013
Age : 65
Localisation : Fux
Un conseillé du Président de la République qui était présent, venant également accueillir le Président Horton, venait de recevoir un coup de téléphone de Raphaël Vinago, lui disant que le temps pressait, et qu'il avait hâte de recevoir le Président étranger.
Messieurs, le Président de la République m'a téléphoné, pour me dire, qu'il ne fallait pas perdre de temps, et que le Président de la République attendait avec impatience le Président Horton. Je me permet donc. Monsieur le Président, nous partons pour le Palais Présidentiel.
Messieurs, le Président de la République m'a téléphoné, pour me dire, qu'il ne fallait pas perdre de temps, et que le Président de la République attendait avec impatience le Président Horton. Je me permet donc. Monsieur le Président, nous partons pour le Palais Présidentiel.
- Spoiler:
- La suite : http://francovie.desforums.net/t701-reception-du-president-armareen#9122
Délégation armaréenne- Messages : 21
Date d'inscription : 22/05/2013
Horton n'était clairement pas habitué à ce qu'autant de monde lui serre la main. Autant de proximité le dérangeait, dans la mesure où il préférait (de loin) les saluts militaires. Il ne vit bien évidemment rien de la "tension" avec Dresdner, mais il fronça légèrement les sourcils quand le Ministre des Affaires Etrangères francovar ignora son propre diplomate. Il ne manqua donc pas de mettre les pieds dans le plat :
- Le voyage a été excellent, malgré quelques turbulences. Monsieur Seguela et moi-même avons eu le temps de discuter et d'échanger de nombreuses choses durant toute la durée du vol. C'est un homme qui semble aussi cultivé que compétent et croyez-moi, je n'ai pas le compliment facile.
Horton se rapprocha légèrement du diplomate armaréen pour lui lui glisser, tandis que le Ministre était occupé à faire apporter un parapluie :
- Ne le respecte-t-il pas pour ne pas le saluer ?
Oui, pour quelqu'un de très attaché au respect comme Horton, la situation était étonnante. Mais le diplomate lui fit comprendre qu'il n'y pouvait rien et le Président armaréen resta donc de marbre. Alors qu'ils avançaient et que Dean prenait l'eau, un conseiller du Président s'avança et se présenta à son tour. Tandis que l'homme accélérait le mouvement, Horton se pencha vers Dresdner et lui dit :
- Leur Président aime la rapidité, parfait. Nous serons deux. Allons-y.
Il enjoignit le pas au conseiller et monta à bord de la voiture présidentielle. Il avait refusé le parapluie, là encore une vieille habitude de militaire endurci.
- Le voyage a été excellent, malgré quelques turbulences. Monsieur Seguela et moi-même avons eu le temps de discuter et d'échanger de nombreuses choses durant toute la durée du vol. C'est un homme qui semble aussi cultivé que compétent et croyez-moi, je n'ai pas le compliment facile.
Horton se rapprocha légèrement du diplomate armaréen pour lui lui glisser, tandis que le Ministre était occupé à faire apporter un parapluie :
- Ne le respecte-t-il pas pour ne pas le saluer ?
Oui, pour quelqu'un de très attaché au respect comme Horton, la situation était étonnante. Mais le diplomate lui fit comprendre qu'il n'y pouvait rien et le Président armaréen resta donc de marbre. Alors qu'ils avançaient et que Dean prenait l'eau, un conseiller du Président s'avança et se présenta à son tour. Tandis que l'homme accélérait le mouvement, Horton se pencha vers Dresdner et lui dit :
- Leur Président aime la rapidité, parfait. Nous serons deux. Allons-y.
Il enjoignit le pas au conseiller et monta à bord de la voiture présidentielle. Il avait refusé le parapluie, là encore une vieille habitude de militaire endurci.