Bureau Présidentiel

Monsieur le Président?

je viens vous voir pour vous parler de la réforme des élections locales, Conta m'a rappelé que vous seul pouviez faire une Loi électorale.

Il s'agirais d'ordonner que toutes les élections locales e fassent le même jour et surtout que les villes de Neiba et Soye-en-septaine fonctionne sur le même système que Micropolia, vu que ce sont des villes abandonnées, affin que nous ayons de vrais grandes élections de mi-mandat. Elle permettrait aussi de juger du rapport Droite-Gauche au niveau local et ce serait une grande réforme d'accomplie! 

Qu'en pensez-vous?

Oui, c'est une bonne idée. Je m'en occupe

Merci Monsieur le Président.

Je vous laisse. Je retourne a l'Assemblée.

Monsieur le Président,

que fait-on pour la Loi sur la Municipalisation? La Gauche me les brise.....

Raphaël Vinago :

Ne rentrez pas leur jeu et arrettez de vous énerver et de les insulter. Pour l'avenir de cette loi, c'est votre idée, c'est à vous de prendre la décision.

Monsieur le Président, je souhaite, comme vous je pense, que jusqu'aux élection législatives tout se passe pour le mieux entre-nous donc si vous souhaitez quoi que ce soit, le Gouvernement et moi-même sommes a votre disposition. Je tient réellement a ce que tout se passe bien jusqu'a l'arrivée du prochain Premier Ministre.

Monsieur le Président je viens vous voir suite aux rumeurs sur une possible dissolution qui court un peu partout, relayé par les majordomes et les huissiers dans vos couloirs et les miens, je viens vous rappeler qu'il y a des élections législatives de prévu dans très peu de temps et que limoger mon Gouvernement dans les jours qui vienne serait inutile. Je vous l'ai dit je suis prêt a travailler en bonne intelligence avec vous le temps de l'élection et jusqu'a ces résultats.

J'accepte de travailler avec vous mais dans ce cas il faut un respect mutuel et la nomination de Fiona Lee sans me demander est tout le contraire.
Par ailleurs cela impmique l'entree de nouveaux ministres.

Vous avez raison, j'aurais du vous consulter, je m'en excuse. Mais les législatives ayant lieu la semaine prochaine je ne pense pas que Lee accapare ce poste très longtemps.

Monsieur le Président, j'apprend que vous avez encore changé d'avis pour le Ministre de l'économie....faudrait voir a faire un choix définitif un jour.

Monsieur le Président, je doute que vous puissiez me "révoquer" a moins de lancer une élection législative anticipée, et encore il vous faudrait attendre les résultats avant de songer a mon départ. Si quelqu'un prend l'autre de haut ici ce n'est pas moi, je fait tout les efforts possible pour bien travailler avec vous je vous le rappelle, mettez-y un peu du votre aussi.

J'accepte le choix de Mr Dereaux, il a été très compétant a ce poste.

Monsieur le Président,

Comme vous l'aviez demandé j'ai effectuée les nominations des Directeur de Radio et du Journal.

Josephine Glantier est nommée officiellement Directrice du Grand Francovar et Félicité De La Rose Bleu est nommée officiellement Directrice de Radio Francovie.

Stephane Maurier , l'oeil dans ses dossiers était surprit de voir son Premier Ministre venir aux Louvrières juste pour cette raison.

Un coup de telephone aurait suffit.
Il lui lanca :

Merci , vous vouliez me parler d'autres choses Monsieur le Premier Ministre ?

Le Premier Ministre était déjà sorti, il aimais bien venir enquiquiner le Président, c'était, pour ainsi dire, son seul plaisir ces temps-ci. Mais il réapparut très vite.



Ah! J'oubliais! Je tenais a vous signaler que j'ai modifié le décret de création des Ordres Nationaux en précisent que les Clans pouvaient se crée une décoration régionale mais pas une qui existe déjà au niveau national, j'ai ainsi demandé au Clan Longville de modifier la sienne. J'espère que vous êtes d'accord avec ça.

Irina entra dans le bureau.

Irina Leileina

Bonsoir, Monsieur le Président. C'est un honneur.

Bonsoir Madame.

J'ai consenti a vous recevoir ce soir parce qu'il semble que vous ayez des choses a me dire, et je suis prêt a les entendre.

Nous savons tout deux que cette crise institutionnelle qui sort un peu de nulle part pourrais se finir gravement et dans l’intérêt de la République je souhaite que l'on en sorte pas le haut tous autant que nous sommes.

Donc, je vous écoute, qu'avez vous a dire?

Monsieur, j'ai connue maintes guerres civiles et révolutions. Maintes crises. Je suis tout à fait consciente de la situation.

Ma présence ici est dans un but de restaurer la concorde républicaine nécessaire à la continuité de l'Etat. De cette continuité, vous êtes le garant. Je ne sais pas qui est responsable mais je m'en contrefiche.

Ce que je vois, c'est que la situation actuelle est mauvaise. Pour la résoudre, nous devons étudier dans le détail le problème qui se pose:

1) La CS n'est pas complète et des décisions (validation des candidatures) ont été prises en dehors de la légalité.
2) la CS à clôturé à 22h29 la campagne au lieu de 23h59. Or la campagne n'était pas finie et FELV à fait un meeting dans ces 30 minutes de battement.
3) La loi électorale est caduque. Notre loi actuelle est encore en référence aux 100 députés et cela ne fut pas modifié.

Voilà les différents points d'accusation. Actuellement, on vous désigne comme responsable. De plus, je doit vous avouer que votre communiqué à franchement énervé la gauche. Il nous faut donc prendre des mesures. Je pense qu'il faut prendre déjà une ordonnance pour mettre à jour la loi électorale mais cela veux dire reporter les élections.

Il y a une autre solution: Par l'article 17 de la constitution, vous ordonnez l'amnistie générale des erreurs relevées dans ces élections et le scrutin se tiendra comme prévu.

Je viens de vérifier et en effet la Loi électorale n'a jamais été modifiée, je vous fait donc la promesse qu'elle le sera!

Par ailleurs tout ce que vous dites est véridique, d'ailleurs je ne comprend pas que la Cours Suprême est clos la campagne avant l'heure, ce n'est pas normal et je vais recardrer tout ça.

En définitive vous avez raison, une décision s'impose et je vais la prendre immédiatement en m'adressent au peuple.

Trouvez bien vos mots car je craint que vous trouviez beaucoup d'hostilité à gauche et peu de soutien à votre droite en ce week-end électoral.

Ce fut un honneur de vous rencontrer et je reste à votre disposition si vous souhaitez mon conseil.


Elle salua le Président puis partit.