Prise d'otage

je déplace ici

Non loin de là, trois personnes attendaient avec impatience que le Chef du Clan d'Almara sorte du bâtiment qui abritait le Conseil Local.

Et ils tuaient le temps comme ils pouvaient...








Premier terroriste : Eh, chef, vas-y ! Prends-nous en photo !


Deuxième terroriste : Mais vous n'avez pas bientôt fini de faire les andouilles, vous deux ?



Richard Kold fut finalement en vue. Il était seul et aucun garde du corps ne l'accompagnait.








Le chef du petit groupe s'approcha de lui discrètement puis, le menaçant de son arme, lui dit :



Le terroriste : Monsieur Kold, vous allez venir avec nous ! Ne soyez pas stupide, nous sommes armés et très déterminés !



Les trois terroristes et leur otage rentrèrent alors dans le bâtiment, qui devait rester désert pendant tout le week-end...

Mr Kold fit signe a un agent de police...



Mr Kold: Arrêtez-moi ces bouffons tout de suite!

Agent: Tout de suite Monsieur!

L'Agent avança, arme braqué sur les preneurs d'otage mais il fut rapidement abattu! Il tomba au sol gisent dans une marre de sang!



Mr Kold: Le pauvre crétin! Il a oublié son gilet pare-balle chez lui!!! On ne peut vraiment compter que sur sois même.

C'est bon Messieurs! Plus de violences, je vous suis...

Il appuya discrètement sur un bouton! Dehors, toute la Police de la ville fut instantanément sur place!

Une personne sortit du bâtiment. Son visage était couvert par une cagoule et ses mains étaient attachées dans son dos.

Il ne pouvait visiblement pas parler (un sparadrap l'en empêchait, les hommes du GEG s'en rendirent compte en lui retirant sa cagoule).


Dans l'une de ses poches, on trouva une feuille de papier avec un message qui disait :

APPELEZ-NOUS !

Un numéro de téléphone était également indiqué.

Les gendarmes donnèrent le numéro au Directeur Grochin.

Paul Grochin :

Hum ... ce n'est pas bon c'est eux qui dirige l'echange mais au moins on a récupéré un otage c'était le but.
Bon appelez les au moin on saura ce qu'ils veulent.


Le gendarme enclencha l'appel via son ordinateur integré au téléphone satelite.
Après plusieurs sonneries quelqu'un répondit :

Charcuterie Bouchard , je vous ecoute.





Quoi ? C'est quoi ce bordel ?

Le Gendarme tout rouge : Pardon je me suis trompé , je recommence.
Une nouvelle fois on entendit des sonneries tandis que les gendarmes dont le Directeur Grochin attendaient avec impartience une réponse des preneurs d'otages.

A l'autre bout de la ligne, le téléphone fut décroché.

Une voix, probablement trafiquée par un système très perfectionnée, se fit entendre :



Écoutez-moi bien car je ne me répèterai pas.

Nous voulons un avion avec le plein de kérosène.

Nous voulons un pilote qui nous emmènera, nous et les 14 otages, où nous lui dirons mais uniquement quand nous aurons quitté le pays.

Vous avez 24h. Demain, à 21h00, nous exécuterons un otage et nous en tuerons un toutes les 30 minutes.

Paul Grochin prit la parole :

Quels otages ? Le batiment que vous avez prit était vide pour ce Week-End.

Il demanda à ses gendarmes de verifier les indications du preneur d'otage.

Que se soit clair une négociation ne se gère pas par la menace , sachez que tuer un otage toutes les 30 minutes nous forcera à intervenir , je vous conseil donc de ne pas faire l'idiot.

A l'abrit du téléphone il indiqua de contacter le ministère et l'Etat major de gendarmerie.

Nous avons 14 otages. Vous avez 24h. Je raccroche.

Brigitte Bregen était arrivée sur les lieux.


Brigitte Bregen

Grochin, faîtes moi un rapport de la situation. Le Président de la République à exigé que je soit présente à vos cotés pour avaliser au plus vite vos demandes.

Paul Grochin s'adressant en privée à la ministre dans le QG de la gendarmerie :

Madame la ministre , nous venons de contacter les preneurs d'otage.
Ceux-ci réclame un avion remplit de Kérosène avec un pilote rien d'autre c'est assez bizarre pas d'argent pas de demande précise.
Ils ont selon eux 14 otages et ont menacés de tuer un otage toutes les 30 minutes tout en nous laissant 24H. Cependant voyant leur erreur de calcul puisque 14 fois 30 minutes font 7 heures et non 24 , ils ont reculés sur leur menace de tuer les otages toutes les 30 minutes par contre ils n'ont pas cédé sur les 24H

Pour l'instant nous avons réussit à liberer un otage avant leur déclaration d'en avoir 14 mais nous ne sommes pas certains qu'ils en aient vraiment 14. Tout ce que nous savons c'est qu'ils ont Monsieur Richard Kold parmis les otages.

Quels sont vos ordres ?

On ne cède pas. Si on leur file un avion, cela devient une affaire micromondiale. Et un avion sous contrôle terroriste sera une telle menace que n'importe quelle armée sera en droit d'abattre l'avion.

Si ils nous rappellent dîtes leurs que c'est impossible, que aucun pays n'autorisera leur atterissage et qu'ils seront abattu par l'aviation ou la marine d'un autre état. Je veux que vous appreniez combien il y a de terroristes et leur armement.

Güntter Alsboergs téléphona anonymement les deux terroristes.

Güntter Alsboergs : Les gars, je vous soutient. J'espère que votre mission se déroulera avec succès.

Paul Grochin apprecia le fait que la ministre ne cède pas.
Après quelques verifications avec ses adjoints il expliqua à la ministre :

Concernant le nombre de terroriste et leur armement , il est très difficile de le savoir mais nous travaillons sur la question , il y a des cameras de vidéo-surveillance qui devrait nous aider.
Quoi qu'il en soit mes equipes sont déja pretes pour une intervention si on entend un tir.

Brigitte Bregen

Avez vous un visuel pour le tir?

Paul Grochin :

Non aucun sniper n'a de cible en vue , apparament les preneurs d'otages se trouveraient au fond du batiment à l'abris des fenetres. En cas d'intervention se serait une intervention compliquée.

La Ministre acquiesça

Que disent les gendarmes?

Mickaël Birmont se promena à Almara. Il a pu assister à l'intervention de la Police et de la Gendarmerie. Curieux, il s'empressa d'aller demander ce qui se passait ici.

Mickaël Birmont 'Yo ! C'est quoi l'prob', ici ? Je peux vous aider ?

Des gendarmes indiquères à Birmont de quitter la place et de ne pas gener la police.

Au QG Paul Grochin avait de nouvelle informations pour la ministre :





Madame la ministre , après interrogation de l'otage liberé nous confirmons qu'il y a 14 otages restants ainsi que 4 preneurs d'otages.

L'otage liberé et les plans du batiment communiqués par l'architect nous permettront d'intervenir plus facilement.

Brigitte Bregen regarda la police emmener Birmont

Brigitte Bregen

Mettez les lignes téléphoniques sur écoute, tentez de capter les portables qu'il y a d'activé à l'intérieur. Nous devons absolument identifier les terroristes, cela nous permettra de savoir à quoi nous avons à faire.

Paul Grochin :

Pour l'instant ce ne sont pas des terroristes mais au vu du manque de mobile cette voie est envisagée par nos services.
Nous venons d'installer une parabole pour intercepter tout appel.
Les connexions internets des ordinateurs sont aussi sous surveillance.
Souhaitez vous que l'on coupe l'electrecité au sein du batiment ?

Brigitte Bregen

Non, seulement lors de l'opération d'intervention.

Paul Grochin :

Je les rappel pour leur dire qu'on refuse de leur donner un avion pour les motifs que vous nous avez donnés ?

Brigitte Bregen

Oui, en expliquant que ce serais tout à fait dangereux pour eux... Ils ont plus de chance de s'en sortir en se rendant qu'en prenant un avion qui serais probablement abattu.