Devant le siège de la Cour Suprême, des journalistes s'étaient massé face à cette affaire qui semblait prendre une ampleur politique majeure. Irina Leileina se présenta.
Irina Leileina:
Mesdames, Messieurs,
Je souhaite partager avec vous, non plus mon scepticisme mais ma colère. Personnellement, je ne savais pas à quel point j'avais raison en critiquant nos dirigeants dans cette vidéo polémique que j'ai posté. Vidéo qui a provoqué le meeting du PAF et qui a provoqué cette situation.
Quelle est cette situation? Aujourd'hui, par l'incompétence du pouvoir actuel, nous nous retrouvons dans une phase de blocage. Le vote de ce week-end ne pourra pas être avalisé pour plusieurs raisons: Vices de procédure, viol du calendrier, CS incomplète.
Si le Président de la République avait fait sont travail, si la CS avait fait aussi sont travail, nous ne serions pas dans une situation qui, je vous assure, va ne faire qu'empirer. Car aujourd'hui, c'est à cause de la CS que le procès est reporté. Mais une fois le procès lancé, d'autres éléments seront apportés. C'est un coup dur pour la République. L'amateurisme des dirigeants à permis de laisser s'accumuler des contradictions législatives, des vides juridiques. Quand au Président de la République, il a bloqué la CS.
Mais que ce soit clair, Kikojiro n'est pas seul responsable. Comment aucun des trois juges n'ont pu se rendre compte de la fin du mandat d'un des leurs pendant l'élection? Le problème est d'autant plus important est que la validation des candidatures fut faîte le 23 septembre par une CS comptant un membre au mandat terminé. Et en plus, la CS n'a pas respecté le calendrier électoral en ouvrant le vote pendant la campagne électorale.
Au niveau du droit, ces graves erreurs rend , à mon sens, l'élection caduque de facto. La décision prise par le Président de la CS confirme ce que je dit actuellement.
En vérité, nous sommes face à une situation très grave où la CS et la Présidence ont accumulé des erreurs bêtes mais qui coûtent aujourd'hui une grande part de la crédibilité de notre République.
Irina Leileina:
Mesdames, Messieurs,
Je souhaite partager avec vous, non plus mon scepticisme mais ma colère. Personnellement, je ne savais pas à quel point j'avais raison en critiquant nos dirigeants dans cette vidéo polémique que j'ai posté. Vidéo qui a provoqué le meeting du PAF et qui a provoqué cette situation.
Quelle est cette situation? Aujourd'hui, par l'incompétence du pouvoir actuel, nous nous retrouvons dans une phase de blocage. Le vote de ce week-end ne pourra pas être avalisé pour plusieurs raisons: Vices de procédure, viol du calendrier, CS incomplète.
Si le Président de la République avait fait sont travail, si la CS avait fait aussi sont travail, nous ne serions pas dans une situation qui, je vous assure, va ne faire qu'empirer. Car aujourd'hui, c'est à cause de la CS que le procès est reporté. Mais une fois le procès lancé, d'autres éléments seront apportés. C'est un coup dur pour la République. L'amateurisme des dirigeants à permis de laisser s'accumuler des contradictions législatives, des vides juridiques. Quand au Président de la République, il a bloqué la CS.
Mais que ce soit clair, Kikojiro n'est pas seul responsable. Comment aucun des trois juges n'ont pu se rendre compte de la fin du mandat d'un des leurs pendant l'élection? Le problème est d'autant plus important est que la validation des candidatures fut faîte le 23 septembre par une CS comptant un membre au mandat terminé. Et en plus, la CS n'a pas respecté le calendrier électoral en ouvrant le vote pendant la campagne électorale.
Au niveau du droit, ces graves erreurs rend , à mon sens, l'élection caduque de facto. La décision prise par le Président de la CS confirme ce que je dit actuellement.
En vérité, nous sommes face à une situation très grave où la CS et la Présidence ont accumulé des erreurs bêtes mais qui coûtent aujourd'hui une grande part de la crédibilité de notre République.