C'était sa première visite officielle. Si il avait choisit un style de présidence au dessus de la mêlée, il ne pouvait pas être à l'abri des critiques qui se faisaient plus dures. Il décida donc de se rendre à Almara, sur les lieux de la prise d'otage.
Après, il alla à une cérémonie pour récompenser le travail des agents de l'ordre. Et tint un discours.
Jean Coty
Lors de mon investiture, j'ai fais une promesse: Garantir l'ordre de la République. J'ai dit que la République ne céderait jamais face au terrorisme et à la violence. J'ai dit que la violence et le terrorisme devaient plier face à la République.
Je tiens à saluer le remarquable travail fait par les services de l'Etat dans cette prise d'otage. Un travail héroïque qui démontre clairement de la performance de l'Etat quand on lui laisse la capacité d'agir, quand ses chefs sont unis dans un moment si grave.
Pourtant, cette acte nous montre que nous n'en avons pas fini avec le terrorisme, qu'il est toujours là, caché, à attendre pour tuer lâchement pour des raisons qui ne sont pas recevable. Parce que lorsque la violence est utilisée, les raisons originelles deviennent caduques. Lorsque la violence est utilisée pour des intérêts particuliers contre l'Unité de la Nation, cela devient un crime, un crime, ici pour le terrorisme, "imprescriptible".
Face à cela, l'Unité nationale doit être garantie. Nos armes sont: la Démocratie, le débat et la responsabilité de chacun. Quand le Président de la République, élu par le suffrage de tous, appelle quelqu'un aux responsabilités, c'est moins un honneur qu'un appel au devoir. L'honneur n'est pas d'être nommé, l'honneur est dans la réalisation du devoir pour son pays.
Comment rejeter l'unité de la nation? Le peuple vote et décide qui est le Président, qui siège à la Chambre. Comment certains peuvent rejeter de participer à une répartition démocratique des rôles qui a été confié par le Peuple? La chambre est divisée, oui. Mais c'est un motif pour mieux nous rassembler. Et non pour nous diviser. Parce que lorsque nous sommes divisé, des groupes factieux en profitent pour s'attaquer à la République! Mon prédécesseur en a fait les frais et aujourd'hui, de nouvelles violences apparaissent parce que nous sommes divisés!
Dimanche dernier, j'ai appelé chacun à ses responsabilité. On m'a dit, on m'a conjuré de faire un gouvernement d'Union: Mais comment voulez vous faire quand plusieurs partis refusent leurs responsabilités d'élus? Je doit avouer que j'ai eu honte, non pas d'avoir nommé une Premier Ministre favorable à la peine de mort, question qui était innaceptable pour moi et dont l'abandon fut une condition sine qua non de sa nomination, j'ai eu honte pour la classe politique. J'ai parlé de responsabilité et d'appel du devoir... Mais comment refuser cet appel? Comment s'abaisser à des calculs politiciens qui mettent en péril la continuité de l'Etat?
Certains ont même pensé le mot "dissolution"... Parce que l'on a cru pendant un moment que le Président de la République, garant de la Démocratie et de la Continuité de l'Etat, allait dissoudre une chambre qui vient juste d'être élue et donc légitime, que le Président remettrait en cause le vote populaire?
Mes chers concitoyens, je veux mener un travail important dans ce mandat, avec vous, et avec toutes les forces politiques dans un esprit d'Ordre Démocratique.
Et cet ordre, je veux le maintenir. Au moins pour rendre hommage à nos pères fondateurs a qui nous devons les plus grands honneurs. Devons nous être divisé à moins d'une semaine du Premier Anniversaire de la libération? Car l'heure approche et nous devons être digne le 2 décembre. En l'honneur de ce jour, du 2 décembre 2012, ce jour sera déclaré férié. Une grande cérémonie républicaine sera organisée en présence d'un Représentant d'Armara et le Président du Krassland. Et le Président de la République, après avoir salué nos armées et les résistants morts tombé contre Jallan, se rendra pour un moment de Concorde Nationale , avec messieurs Vinago et Kikojiro, au Panthéon pour rendre un hommage aux grands hommes de la République, et à sa Grande Dame.
J'espère sincèrement que certains pourront se tenir dans ce moment d'unité. Par respect pour notre Nation, notre Histoire et notre République.
Il se tourne et entre dans le bâtiment avec les différents responsables de la police.
Après, il alla à une cérémonie pour récompenser le travail des agents de l'ordre. Et tint un discours.
Jean Coty
Lors de mon investiture, j'ai fais une promesse: Garantir l'ordre de la République. J'ai dit que la République ne céderait jamais face au terrorisme et à la violence. J'ai dit que la violence et le terrorisme devaient plier face à la République.
Je tiens à saluer le remarquable travail fait par les services de l'Etat dans cette prise d'otage. Un travail héroïque qui démontre clairement de la performance de l'Etat quand on lui laisse la capacité d'agir, quand ses chefs sont unis dans un moment si grave.
Pourtant, cette acte nous montre que nous n'en avons pas fini avec le terrorisme, qu'il est toujours là, caché, à attendre pour tuer lâchement pour des raisons qui ne sont pas recevable. Parce que lorsque la violence est utilisée, les raisons originelles deviennent caduques. Lorsque la violence est utilisée pour des intérêts particuliers contre l'Unité de la Nation, cela devient un crime, un crime, ici pour le terrorisme, "imprescriptible".
Face à cela, l'Unité nationale doit être garantie. Nos armes sont: la Démocratie, le débat et la responsabilité de chacun. Quand le Président de la République, élu par le suffrage de tous, appelle quelqu'un aux responsabilités, c'est moins un honneur qu'un appel au devoir. L'honneur n'est pas d'être nommé, l'honneur est dans la réalisation du devoir pour son pays.
Comment rejeter l'unité de la nation? Le peuple vote et décide qui est le Président, qui siège à la Chambre. Comment certains peuvent rejeter de participer à une répartition démocratique des rôles qui a été confié par le Peuple? La chambre est divisée, oui. Mais c'est un motif pour mieux nous rassembler. Et non pour nous diviser. Parce que lorsque nous sommes divisé, des groupes factieux en profitent pour s'attaquer à la République! Mon prédécesseur en a fait les frais et aujourd'hui, de nouvelles violences apparaissent parce que nous sommes divisés!
Dimanche dernier, j'ai appelé chacun à ses responsabilité. On m'a dit, on m'a conjuré de faire un gouvernement d'Union: Mais comment voulez vous faire quand plusieurs partis refusent leurs responsabilités d'élus? Je doit avouer que j'ai eu honte, non pas d'avoir nommé une Premier Ministre favorable à la peine de mort, question qui était innaceptable pour moi et dont l'abandon fut une condition sine qua non de sa nomination, j'ai eu honte pour la classe politique. J'ai parlé de responsabilité et d'appel du devoir... Mais comment refuser cet appel? Comment s'abaisser à des calculs politiciens qui mettent en péril la continuité de l'Etat?
Certains ont même pensé le mot "dissolution"... Parce que l'on a cru pendant un moment que le Président de la République, garant de la Démocratie et de la Continuité de l'Etat, allait dissoudre une chambre qui vient juste d'être élue et donc légitime, que le Président remettrait en cause le vote populaire?
Mes chers concitoyens, je veux mener un travail important dans ce mandat, avec vous, et avec toutes les forces politiques dans un esprit d'Ordre Démocratique.
Et cet ordre, je veux le maintenir. Au moins pour rendre hommage à nos pères fondateurs a qui nous devons les plus grands honneurs. Devons nous être divisé à moins d'une semaine du Premier Anniversaire de la libération? Car l'heure approche et nous devons être digne le 2 décembre. En l'honneur de ce jour, du 2 décembre 2012, ce jour sera déclaré férié. Une grande cérémonie républicaine sera organisée en présence d'un Représentant d'Armara et le Président du Krassland. Et le Président de la République, après avoir salué nos armées et les résistants morts tombé contre Jallan, se rendra pour un moment de Concorde Nationale , avec messieurs Vinago et Kikojiro, au Panthéon pour rendre un hommage aux grands hommes de la République, et à sa Grande Dame.
J'espère sincèrement que certains pourront se tenir dans ce moment d'unité. Par respect pour notre Nation, notre Histoire et notre République.
Il se tourne et entre dans le bâtiment avec les différents responsables de la police.