Jean Coty et son équipe était arrivé tôt à Evrain. La journée devait être très longue et Jean Coty décida vers 8h d'aller directement sur le marché d'Evrain avant d'aller rendre visite aux associations de quartiers. Il alla donc à la rencontre des électeurs sur le marché.
Il fut bien accueillit et fut même invité à prendre le petit verre du matin (à 8h30) avec certains commerçants
Vers 11h, il dut partir à son rendez-vous avec les associations de quartiers. Il resta avec eux pendant deux longues heures pour discuter des différents problèmes. A la sortie, il fut interrogé par des journalistes
Monsieur Coty, que ressort de cette réunion avec les associations d'Evrain?
Jean Coty
Un certains désarrois. Et une forte incompréhension. Nous avons surtout parlé de la sécurité et du développement. Sur la sécurité, les gens ne comprennent pas la politique de l'Etat... Ils disent "Les chiffres disent que la délinquance baisse mais pourtant, il y a toujours de fortes tensions dans le pays d'Evrain"... Que peut-on répondre à part l'absurdité de la rêgle actuelle? Actuellement on calcule l'évolution de la délinquance mais par rapport à quoi? que veulent dire + ou - 20%? Ce qu'il faut, c'est moderniser le calcul en comptant réèllement les méfaits commis.
Il y a aussi une incompréhension vis-à-vis de l'Etat: Certes, l'Indépendantisme n'est pas partagée par la grande majorité. Et si l'Etat à eu raison d'envoyer la gendarmerie mettre un terme à la crise, ici les gens n'ont vue de Kikojiro et Vasseur qu'un "J'ai venu, j'ai vue, j'ai vaincu". Si l'ordre doit être restauré, si l'indépendantisme doit être combattut, l'Etat ne doit pas être seulement celui qui réprime mais aussi celui qui aide. On combat les divisions, pas par la matraque mais par le développement.
Et je pense qu'il y a beaucoup d'effort à faire dans ce domaine vue l'abandon de l'Etat qui se ressent violemment avec les disparités avec les clans... Si Kikojiro avait voulu mener une vrai politique sociale, qui fut inexistante, il aurais commencé par commander à la BCF un rapport sur le niveau de richesse des clans.
Il fut bien accueillit et fut même invité à prendre le petit verre du matin (à 8h30) avec certains commerçants
Vers 11h, il dut partir à son rendez-vous avec les associations de quartiers. Il resta avec eux pendant deux longues heures pour discuter des différents problèmes. A la sortie, il fut interrogé par des journalistes
Monsieur Coty, que ressort de cette réunion avec les associations d'Evrain?
Jean Coty
Un certains désarrois. Et une forte incompréhension. Nous avons surtout parlé de la sécurité et du développement. Sur la sécurité, les gens ne comprennent pas la politique de l'Etat... Ils disent "Les chiffres disent que la délinquance baisse mais pourtant, il y a toujours de fortes tensions dans le pays d'Evrain"... Que peut-on répondre à part l'absurdité de la rêgle actuelle? Actuellement on calcule l'évolution de la délinquance mais par rapport à quoi? que veulent dire + ou - 20%? Ce qu'il faut, c'est moderniser le calcul en comptant réèllement les méfaits commis.
Il y a aussi une incompréhension vis-à-vis de l'Etat: Certes, l'Indépendantisme n'est pas partagée par la grande majorité. Et si l'Etat à eu raison d'envoyer la gendarmerie mettre un terme à la crise, ici les gens n'ont vue de Kikojiro et Vasseur qu'un "J'ai venu, j'ai vue, j'ai vaincu". Si l'ordre doit être restauré, si l'indépendantisme doit être combattut, l'Etat ne doit pas être seulement celui qui réprime mais aussi celui qui aide. On combat les divisions, pas par la matraque mais par le développement.
Et je pense qu'il y a beaucoup d'effort à faire dans ce domaine vue l'abandon de l'Etat qui se ressent violemment avec les disparités avec les clans... Si Kikojiro avait voulu mener une vrai politique sociale, qui fut inexistante, il aurais commencé par commander à la BCF un rapport sur le niveau de richesse des clans.